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Soyez les biens venues
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Catégorie : écrire est un don

Soyez les biens venues
VIP-Blog de mon-mimoirperso
  • 6 articles publiés dans cette catégorie
  • 826 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 20/06/2006 23:29
    Modifié : 18/06/2008 18:28

    Fille (16 ans)
    Origine : casa
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    [ article ] [ sentiments ] [ poème ] [ occasion ] [ écrire est un don ] [ astronomie ] [ divertissement ]

    un ami est...

    11/04/2007 19:26

    un ami est...


    "Un ami est quelqu'un avec qui je peux être sincère, quelqu'un 
      devant qui je peux penser tout haut."
      Ralph Waldo Emerson
       "Alors qu'il marchait à l'aube sur la plage, le vieux vit devant 
      lui un jeune homme qui ramassait des étoiles de mer et les jetait 
      à l'eau. Il finit par le rejoindre et lui demanda pourquoi 
      il agissait ainsi. Le jeune homme lui répondit que les étoiles 
      de mer mourraient s'il les laissait là jusqu'au lever du soleil. 
      « Mais la plage s'étend sur des kilomètres et il y a des millions 
      d'étoiles de mer, répliqua-t-il. Quelle différence cela va-t-il 
      faire ? » Le jeune homme regarda l'étoile de mer qu'il tenait 
      dans sa main et la lança dans l'écume. Il répondit : « Cela fera 
      une différence pour celle-ci. »"
     







    l'ile aux sentiments

    08/02/2007 21:32

    l'ile aux sentiments


    Il était une fois, une île ou tous les différents sentiments vivaient : le Bonheur, 
    la Tristesse, le Savoir, ainsi que tous les autres, l'Amour y compris.
        
        Un jour on annonça aux sentiments que l'île allait couler. Ils préparèrent
     donc tous leurs bateaux et partirent.
     Seul l'Amour resta.
      L'Amour voulait rester jusqu'au dernier moment.Quand l'île fut sur le point de sombrer, 
    l'Amour décida d'appeler à l'aide.
      La Richesse passait à côté de l'Amour dans un luxueux bateau.
      L'Amour lui dit, "Richesse, peux-tu m'emmener?"
     
        "Non car il y a beaucoup d'argent et d'or sur mon bateau. Je n'ai pas de place pour toi."
     
        L'Amour décida alors de demander à l'Orgueil, qui passait aussi dans un magnifique vaisseau, 
    "Orgueil, aide-moi je t'en prie !" "Je ne puis t'aider, Amour. Tu es tout mouillé et tu pourrais endommager mon bateau."
     
        La Tristesse étant à côté, l'Amour lui demanda, 
    "Tristesse, laisse-moi venir avec toi."
     
        "Ooh... Amour, je suis tellement triste que j'ai besoin d'être seule !"
       Le Bonheur passa aussi à coté de l'Amour, mais il était 
    si heureux qu'il n'entendît même pas l'Amour l'appeler !
     Soudain, une voix dit, "Viens Amour, je te prends avec moi. 
    C'était un vieillard qui avait parlé.
     
        L'Amour se sentit si reconnaissant et plein de joie qu'il en oublia de demander son nom au vieillard. 
    Lorsqu'ils arrivèrent sur la terre ferme, le vieillard s'en alla.
     
        L'Amour réalisa combien il lui devait et demanda au Savoir 
        
        "Qui m'a aidé ?" 
        
        "C'était le Temps" répondit le Savoir.
     
        "Le Temps ?" s'interrogea l'Amour.
     
        "Mais pourquoi le Temps m'a-t-il aidé ?"
     
         Le Savoir, sourit plein de sagesse, et répondit :
     
        "C'est parce que Seul le Temps est capable de comprendre combien 
    l'Amour est important dans la Vie."
     
       (Histoire proposée par Christian Boucher)
     







    un petit noir regarde...

    27/01/2007 18:22

    un petit noir regarde...


         Un petit noir regarde un marchand de ballons dans la rue. Ses yeux brillent. Il y a des ballons de toutes les couleurs, rouges, bleus,blancs, noirs, jaunes...
     
         Le vieux monsieur qui vend les ballons voit le garçon qui hésite, puis prend son courage à deux mains et s'approche de lui.
     
         "Dis Monsieur, est-ce que les ballons noirs volent aussi hautque les autres ?"
     
         Le vieux Monsieur a presque la larme à l'oeil. Il prend le garçon
      dans les bras, l'installe sur un muret et lui dit :
     
         "Regarde"
     
         Il lâche tous ses ballons qui s'envolent en grappe et montent,montent, montent dans le ciel jusqu'à disparaître tous tellement ils sont hauts.
     
         "Tu as vu ?"
     
         "Oui"
     
         "Est-ce que les ballons noirs sont montés aussi haut que les autres ?"
     
         "Oui Monsieur"
     
         "Tu vois, mon garçon, les ballons, c'est comme les hommes.L'important ce n'est pas leur couleur, ce n'est pas l'extérieur. Non, l'important, c'est CE QU'IL Y A EN EUX. C'est ce qu'il y aen toi qui fera toute la différence dans ta vie."








    Blanche neige

    20/01/2007 21:22

    Blanche neige


    vous connaissez l'histoire!








    les 3 portes de la sagesse

    29/12/2006 22:06

    les 3 portes de la sagesse


    Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince 
      courageux, habile et intelligent. Pour parfaire 
      son apprentissage de la Vie, il l'envoya auprès 
      d'un Vieux Sage.
     
         "Eclaire-moi sur le Sentier de la Vie", demanda 
      le Prince.
         
         "Mes paroles s'évanouiront comme les traces 
      de tes pas dans le sable, répondit le Sage. Cependant 
      je veux bien te donner quelques indications. Sur ta 
      route, tu trouveras 3 portes. Lis les préceptes 
      indiqués sur chacune d'entre elles. Un besoin 
      irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche 
      pas à t'en détourner, car tu serais condamné à 
      revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis 
      t'en dire plus. Tu dois éprouver tout cela dans 
      ton coeur et dans ta chair. Va, maintenant. Suis 
      cette route, droit devant toi."
     
         Le Vieux Sage disparut et le Prince s'engagea 
      sur le Chemin de la Vie.
     
         Il se trouva bientôt face à une grande porte sur 
      laquelle on pouvait lire "CHANGE LE MONDE".
     
         "C'était bien là mon intention, pensa le Prince, 
      car si certaines choses me plaisent dans ce monde, 
      d'autres ne me conviennent pas." Et il entama son 
      premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur 
      le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre, 
      à conquérir, à modeler la réalité selon son désir. 
      Il y trouva le plaisir et l'ivresse du conquérant, 
      mais pas l'apaisement du coeur. Il réussit à changer 
      certaines choses mais beaucoup d'autres lui résistèrent. 
      Bien des années passèrent.
     
         Un jour il rencontra le Vieux Sage qui lui demande : 
      "Qu'as-tu appris sur le chemin ?" "J'ai appris, 
      répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon 
      pouvoir et ce qui m'échappe, ce qui dépend de moi 
      et ce qui n'en dépend pas". "C'est bien, dit le 
      Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce 
      qui est en ton pouvoir. Oublie ce qui échappe à 
      ton emprise." Et il disparut.
     
         Peu après, le Prince se trouva face à une seconde 
      porte. On pouvait y lire "CHANGE LES AUTRES".
     "C'était bien là mon intention, pensa-t-il. 
      Les autres sont source de plaisir, de joie et 
      de satisfaction mais aussi de douleur, d'amertume 
      et de frustration." Et il s'insurgea contre tout 
      ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez 
      ses semblables. Il chercha à infléchir leur 
      caractère et à extirper leurs défauts. 
      Ce fut là son deuxième combat. 
      Bien des années passèrent.
     
         Un jour, alors qu'il méditait sur l'utilité 
      de ses tentatives de changer les autres, il croisa 
      le Vieux Sage qui lui demanda : "Qu'as-tu appris 
      sur le chemin ?" "J'ai appris, répondit le Prince, 
      que les autres ne sont pas la cause ou la source 
      de mes joies et de mes peines, de mes satisfactions
     et de mes déboires. Ils n'en sont que le 
      révélateur ou l'occasion. C'est en moi que 
      prennent racine toutes ces choses." "Tu as raison, 
      dit le Sage. Par ce qu'ils réveillent en toi, 
      les autres te révèlent à toi-même. Soit 
      reconnaissant envers ceux qui font vibrer en 
      toi joie et plaisir. Mais sois-le aussi envers 
      ceux qui font naître en toi souffrance ou 
      frustration, car à travers eux la Vie t'enseigne 
      ce qui te reste à apprendre et le chemin que tu 
      dois encore parcourir." Et le Vieil Homme disparut.
     
         Peu après, le Prince arriva devant une porte 
      où figuraient ces mots "CHANGE-TOI TOI-MEME".
     "Si je suis moi-même la cause de mes problèmes, 
      c'est bien ce qui me reste à faire," se dit-il. 
      Et il entama son 3ème combat. Il chercha 
      à infléchir son caractère, à combattre ses 
      imperfections, à supprimer ses défauts, à changer 
      tout ce qui ne lui plaisait pas en lui, tout 
      ce qui ne correspondait pas à son idéal. 
      Après bien des années de ce combat où il connut 
      quelque succès mais aussi des échecs et des 
      résistances, le Prince rencontra le Sage qui lui 
      demanda : 
      
         Qu'as-tu appris sur le chemin ?" 
      
         "J'ai appris, répondit le Prince, qu'il y a en 
      nous des choses qu'on peut améliorer, d'autres 
      qui nous résistent et qu'on n'arrive pas à 
      briser." 
      
         "C'est bien," dit le Sage. 
      
         "Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à 
      être las de ma battre contre tout, contre tous, 
      contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais ? 
      Quand trouverai-je le repos ? J'ai envie de 
      cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner, 
      de lâcher prise." "C'est justement ton prochain 
      apprentissage, dit le Vieux Sage. Mais avant 
      d'aller plus loin, retourne-toi et contemple 
      le chemin parcouru." Et il disparut.
     
         Regardant en arrière, le Prince vit dans le 
      lointain la 3ème porte et s'aperçut qu'elle 
      portait sur sa face arrière une inscription qui disait
     
                "ACCEPTE-TOI TOI-MEME."
     
         Le Prince s'étonna de ne point avoir vu cette 
      inscription lorsqu'il avait franchi la porte la 
      première fois, dans l'autre sens. "Quand on combat 
      on devient aveugle, se dit-il." Il vit aussi, 
      gisant sur le sol, éparpillé autour de lui, 
      tout ce qu'il avait rejeté et combattu en lui : 
      ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites, 
      tous ses vieux démons. Il apprit alors à les 
      reconnaître, à les accepter, à les aimer. 
      Il apprit à s'aimer lui-même sans plus se comparer, 
      se juger, se blâmer.
     Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda : 
      
         "Qu'as-tu appris sur le chemin ?" 
      
         "J'ai appris, répondit le Prince, que détester 
      ou refuser une partie de moi, c'est me condamner 
      à ne jamais être en accord avec moi-même. 
      J'ai appris à m'accepter moi-même, totalement, 
      inconditionnellement." 
      
         "C'est bien, dit le Vieil Homme, c'est la première 
      Sagesse. Maintenant tu peux repasser la 3ème 
      porte."
     
         A peine arrivé de l'autre côté, le Prince 
      aperçut au loin la face arrière de la seconde 
      porte et y lut
     
                "ACCEPTE LES AUTRES".
     
         Tout autour de lui il reconnut les personnes 
      qu'il avait côtoyées dans sa vie ; celles qu'il 
      avait aimées comme celles qu'il avait détestées. 
      Celles qu'il avait soutenues et celles qu'il avait 
      combattues. Mais à sa grande surprise, il était
     maintenant incapable de voir leurs imperfections, 
      leurs défauts, ce qui autrefois l'avait tellement 
      gêné et contre quoi il s'était battu.
     
         Il rencontra à nouveau le Vieux Sage. "Qu'as-tu 
      appris sur le chemin ?" demanda ce dernier. 
      J'ai appris, répondit le Prince, qu'en étant en 
      accord avec moi-même, je n'avais plus rien à 
      reprocher aux autres, plus rien à craindre d'eux. 
      J'ai appris à accepter et à aimer les autres 
      totalement, inconditionnellement." "C'est bien," 
      dit le Vieux Sage. C'est la seconde Sagesse. 
      Tu peux franchir à nouveau la deuxième porte.
     
         Arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut la 
      face arrière de la première porte et y lut 
      
                 "ACCEPTE LE MONDE".
     
         Curieux, se dit-il, que je n'aie pas vu cette 
      inscription la première fois. Il regarda autour 
      de lui et reconnut ce monde qu'il avait cherché à 
      conquérir, à transformer, à changer. Il fut frappé 
      par l'éclat et la beauté de toute chose. Par leur 
      perfection. C'était pourtant le même monde 
      qu'autrefois. Etait-ce le monde qui avait changé 
      ou son regard ?
     Il croisa le Vieux Sage qui lui demanda. 
       "Qu'as-tu appris sur le chemin ?" 
       "J'ai appris, dit le Prince, que le monde 
      est le miroir de mon âme. Que mon âme ne voit 
      pas le monde, elle se voit dans le monde. 
      Quand elle est enjouée, le monde lui semble gai. 
      Quand elle est accablée, le monde lui semble 
      triste. Le monde, lui, n'est ni triste ni gai. 
      Il est là ; il existe ; c'est tout. Ce n'était 
      pas le monde qui me troublait, mais l'idée que 
      je m'en faisais. J'ai appris à accepter sans 
      le juger, totalement, inconditionnellement."
      C'est la 3ème Sagesse, dit le Vieil Homme. 
      Te voilà à présent en accord avec toi-même, avec 
      les autres et avec le Monde." Un profond sentiment 
      de paix, de sérénité, de plénitude envahit le 
      Prince. Le Silence l'habita. "Tu es prêt, 
      maintenant, à franchir le dernier Seuil, dit 
      le Vieux Sage, celui du passage du silence de 
      la plénitude à la Plénitude du Silence". 
       Et le Vieil Homme disparut.
      (Texte proposé par Françoise Laurent)
     club positif





    les vacances

    23/06/2006 01:01

    les vacances


       C'est les vacances,on a décidé de les passer à la compagnepour oublier la routineet les problèmes des jours quotidiens.

        Dans une journée estivale ,en prromenant dans les champs.J'ai aperçu qu'un féroce et immense me suivait.ça était pour moi l'enfer.Mon coeur commença à battre la chamade.J'ai été effrayé .Je n'ai pas pu me courir

         Alors ,le Fauve me sauta férocement à la poitrine et me renverça par terre

         Heureusement,cette action a coincidé avec l'arrivée de mon oncle qui a été si courageuxet il a sauvé ma vie en dernier minute.

          De ce jour là,j'ai appris à ne pas me promener dans les champs toute seul.








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